Le marquis de ça, extrait choisi
"Justine, ou les malheures de ça", par le marquis de Sa.
Une réécriture fine et de bon goût de ce conte philosophique par Théophile D. et Lise P.
Resumé du ça précédent: Justine, aprés s'être fait ça par un ça, est cachée sous un ça et assiste à ça.
(...)
Le jeune maître, nullement effrayé du ça dont on le menace, le ça, le couvre de ça, s'en ça, s'en ça, se pâme en l'introduisant dans son ça. Enthousiasmé de ces ça ça, le coquin se débat sous le ça qui le ça, regrettant qu'il ne soit pas plus ça encore ; il en brave les ça, les prévient, les repousse. Deux tendres et légitimes ça se caresseraient avec moins de ça; leurs ça se pressent, leurs ça s'entrelacent, leurs ça se confondent ; et tous deux, enivrés de ça, trouvent dans une mutuelle ça le complément de leurs voluptueuses ça. L'hommage se ça, et, pour en rallumer le ça, rien n'est épargné par celui qui l'exige : ça, ça, ça, ça de la plus insigne ça, tout s'emploie à dessein de renouveler des ça qui s'éteignent, et tout réussit à les ranimer cinq ça de suite, mais sans qu'aucun des deux changeât de ça ; le jeune maître fut toujours ça ; et, quoiqu'il fit paraître un fort beau ça, que ça le laquais, tout en le ça, et qu'il pût par conséquent devenir ça à son tour, il n'eut pas même l'air d'en concevoir un instant le ça. S'il visita le ça de son ça, s'il le ça, s'il le ça, ce fut pour le ça... pour le faire ça ; mais jamais nul projet d'agence n'eut même l'air d'entrer dans son ça.
(...)
Mouahahaha, vive l'âge bête! J'ai fini Justine et vous m'en voyez ravi.